domingo, 24 de mayo de 2009
Et pourquoi pas moi: L’utopie est nécessaire et très urgente – Français
Notre structure sociale génère des complications et des ennuis très importants, et cette situation ne pourra pas continuer pour long temps… Sûrement quelque chose va se passer, qui changera en profondeur l’ordre institutionnel et quotidien actuel…
On a laissé le chemin ouvert à l’installation de la pauvreté et de l’indigence, aux violations des droits humaines, et au gaspillage des ressources naturels…
En plus, nous n’avons pas prie trop d’attention ni aux problèmes qui se posent aux enfants et aux familles, ni au développement de la toxicomanie, ni aux causes des guerres… Et d’autre part, l’éducation n’a pas pu atteindre tous ses objectifs, notamment en ce qui concerne la conformation d’une moralité forte et très répandue…
Le sociologue espagnol Agustí Chalaux soutenait que l’amour et la solidarité exprimés en termes économiques et en convenables structures institutionnelles, peuvent sûrement nous donner des résultats positifs d’un point de vue pratique et d’un point de vue général… Ce philosophe génial a réussit à élaborer un très bon projet social, réalisable, raisonnable, et que dans l’ensemble donne solution à la plus part des graves problèmes de l’heure actuel, mais ses idées ne sont pas encore prises en compte et retransmisses par les plus importants moyens de communication sociale… Pour donner continuité à ses ponts de vue sur l’avenir et pour renforcer les recherches sur une meilleur organisation de notre système de production et de distribution, Augustí Chalaux et d’autres activistes sociales ont fondé le Centre Joan Bardina à Barcelone, mais les recommandations et les exhortations développées par les chercheurs réunis dans ce centre de travail, malheureusement ne sont pas trop considérées par les politiciens à l’heure actuel… Il faut reconnaître que les avantages qui pourraient éventuellement apporté l’utilisation d’une monnaie télématique dans un pays quelconque ou dans le monde entier, sont au présent peu connues et peu analysées…
Avec certitude, la plus part des problèmes cités auparavant sont très graves, malgré quoi ils sont traités et résolus d’une façon inadéquate par l’ensemble de la société…
En effet, on essaie de régler la pauvreté et l’indigence avec la coopération internationale, avec les propres budgets des pays, et plus récemment avec les très connus objectifs du millénium… Mais tous ces mécanismes sont clairement insuffisantes, vu les résultats atteins…
Aussi, on fait face aux drogues, à la contrebande, au trafic d’armes, avec un système qui surtout emploi la répression et la punition, c'est-à-dire, surtout on développe des actions qui font rappel au jeu des policiers et des voleurs… Mais les malfaiteurs se multiplient, et nous ne pouvons pas faire accroître les policiers dans la mesure des besoins… D’autre part, les prisons sont clairement insuffisantes pour la population des prisonniers à servir, et donc on peut pas s’occuper comme serait nécessaire de la rééducation des internes privés de la liberté…
Et l’éducation… et l’éducation ne forme pas des élèves d’accord aux besoins du siècle XXI, au moins dans certaines régions et à l’intérieur de certains groupes de la population… Plusieurs élèves ne complètent pas ses études… Encore il y a aussi un groupe d’analphabètes trop nombreux…
Les paradis fiscaux, c'est-à-dire, les mécanismes qui parfois sont baptisés “Centres Internationaux de Services Financiers”, sont évidement un point très faible du capitalisme… Les paradis fiscaux sont «avec certitude» une maladie très grave pour l’économie libérale et compétitive… Les taxes sont le prix à payer pour une société organisée, mais attention, on ne peut pas battre l’évasion fiscale et les paradis fiscaux seulement avec les réglementations et les punitions… Il serait mieux de construire une structure sociale qui de fait réduit à un minimum les possibilités de concréter ses déviations…
Ces réflexions finissent ici avec une recommandation et une invitations aux lecteurs… L’ordre social et la recherche des voies pour la résolution des sérieux problèmes de notre époque, concernent incontestablement tout le monde… Évidemment on ne peut pas laisser ses questions seulement dans les mains des techniciens et des politiciens… D’une façon ou d’autre et dans la mesure de nos possibilités, nous tous devrons apporter une idée, une suggestion, une remarque, une attitude exemplaire, une conduite à suivre…
Il est nécessaire et convenable de redéfinir notre réalité sociale avec les idées et les contributions de tout le monde… Chacun de nous doit apporter quelque chose pour ainsi obtenir une meilleure existence moyenne dans toutes les régions du globe… Tout le monde a droit à vivre sans soucis, dans la meilleurs de conditions, mais pour cela est nécessaire l’effort de chacun de nous…
Pour savoir plus sur les propositions et les conseils concernant l’utilisation généralisée et étendue de la monnaie télématique, s’il vous plait, visiter les sites web indiqués ci-dessous:
http://www.bardina.org/ http://www.chalaux.org/ http://www.finaly.org/
Aidez-nous, votre adhésion est plus qu’essentielle… Contactez-nous et faites-nous part de vos idées… Visitez les sites du Centre Joan Bardina…
sábado, 23 de mayo de 2009
Utopia is urgent and necessary – English
Obviously the current social structure presents too many problems and too much irrationality, so it can’t be sustained much longer. Surely something has to go through and profoundly alter the current state of affairs.
We’ve left too many spaces to poverty and malnutrition, to human rights abuses, to misuse of natural resources.
Family is the basic institution of our society and we haven't paid enough attention to its daily needs or to education and recreation needs; we haven't paid enough attention to children protection either. We haven't taken proper care of drug addicts and the armed conflicts and wars reasons either. At the same time we haven't managed to emphasize the transmission of ethical and spiritual values and social coexistence as a way to impose these ideas and life guidance over the materialistic obsessions and the most selfish feelings.
Violent clashes between human groups by race, by gender or sexual orientation, by ideological and political differences, by cosmological-philosophical and religious differences, by ancient hatreds transmitted from generation to generation, are issues that we’ve allowed to progress too much. Obviously also the so called common crimes and street violence have progressed at an alarming rate, creating a feeling of insecurity which is unfortunately consistent with what happens in the social structure.
The Catalan social activist Agustí Chalaux said that love and solidarity -intelligently expressed in economic terms and in an appropriate institutional structure-, can provide us the most of gains. Manifestly, this intelligent social philosopher had the boldness and steadfastness of developing a complete social project, which is integral, comprehensive and feasible, and as a whole, accomplishes to solve the most serious problems of our time; but his words and ideas, which circulate in certain academic scopes, have not yet reached -as they should- neither the more prominent and important mass media nor the political decision-making ambit.
The previous paragraphs have identified a series of social coexistence problems that the vast majority of people will clearly identify as serious or very serious troubles, which we are clearly dealing with -as a society- in a very inadequate way.
Let’s see, we try to tackle poverty and destitution through international cooperation, through national social programs financed by the tax system, and recently, through the well known millennium development goals. Obviously these mechanisms have proved inadequate.
On one hand, we try to solve the problems generated by drug trafficking, smuggling of goods -particularly the smuggling of weapons- and the so called common crime through a repressive and punitive system that without doubt has given very few and poor positive results so far. And worse, our prison structures are so overcrowded and damaged that rehabilitation and reintegration of the offenders is a mere theoretical target which is not reflected in reality.
We’re not clearly managing education as we should, at least in some regions and within certain social groups; dropout and illiteracy still remain too high.
Today, values education is promoted by many educational institutions, and is certainly reflected in some educational content and also in the publicity that some educational institutions perform, but then, when students fully integrate themselves into civilian work life, they find companies which carry legal and illegal/deceptive accounting practices, as well as corruption and abuse of authority at various levels, widespread tax fraud, kickbacks and bribes, public officials who hasten administrative procedures for a small commission, irregularities and abuse committed by both employers and employees, high level professional speculators and also occasional opportunistic speculators who enrich themselves in an unmerited and unfair way, etc. And given this reality, a lot of people leave their principles aside wondering: Why not me too?
Climate change and environmental degradation are a palpable reality, but regulations -both at international and national levels- are inadequate and grossly atomized. The evidence on ecological damage and the economic assessment of these damages are set with excessive slowness and difficulty, and indeed the recovery of damages as compensation is late and happens in very few cases, so this course of action today does not act properly, neither as a source of deterrence nor persuasion.
However, money is the major distributor of resources and opportunities, and could be an organizational element acting with greater strength than the spiritual and moral principles. But of course, as Agustí Chalaux well said, the money we currently use is neither informative nor responsible, and as a direct result of this factor we live in an economic-monetary chaos, though it provides a predictable overall development, fluctuating between certain limits.
Nominal money and an intelligent currency engineering that allows the complete tracking of the payment chain and transfers on a global level could mean a very important roll in our coexistence relationships and in our social development. To a large extent today, the judiciary and the Government must act in hugely uncertain environments; and telematic money, proposed more than twenty-five years ago in the Catalan academic field, could represent a radical shift to this situation.
As soon as the chaotic situation and the possible change in the nature of money are considered, many will be convinced that the only viable solution for our sick socioeconomic structure is to move towards a higher degree of automation in the financial management, including the use of virtual currencies and also including a substantial improvement in the standardization and centralized management of historical transaction databases. This may well star out with a single country or a monetary union, but sooner or later, we should be able to cover almost the entire planet; otherwise we would be leaving a too valuable space to tax havens.
Tax havens are the weakest side of liberal capitalism. The sometimes pompously called “International Financial Services Centers” are the cancer of the liberal and competitive economy. Taxes and fees are the price to pay for a civilized society, but attention: tax evasion and tax havens should not be fought with inspections and punishment, and certainly not with calls for solidarity and morality. A suitable financial institutional framework -where tax evasion and tax havens are practically and basically non-existent- should be established; an appropriate financial institutional framework should be established, in which tax evasion and tax havens are basically almost impossible to carry out.
These thoughts end up here with a recommendation and an invitation to readers. The social order and the problems of our time are everyone’s responsibility and we would do wrongly if we conveniently leave these matters solely in the hands of technicians and/or the rulers of the day, and/or the heads of the international organizations. Each one of us at our own level and according to our abilities in this regard should have a careful attitude, in creative innovative thinking, in seeking information and solutions, and of course also in the dissemination of these concerns by word of mouth and/or through the available media.
We, who for some time have deepened in the solutions conceived and expressed by Agustí Chalaux, confirm that the marked path could provide us such great benefits, that their mere enumeration could easily make believe we’re describing a unattainable and unrealizable social utopia. But utopia is urgent and necessary.
We’re not asking the eventual reader to believe this lines as is; we’re only asking you to take into account the recently expressed points of view, and to become acquainted of this topics the best that you can, for example by appropriate Internet searches, for example visiting the sites listed below:
http://www.bardina.org/ http://www.chalaux.org/ http://www.finaly.org/
In the web sites listed above, there is plenty of information on the recently marked issues, both in video and text format, and indeed in different languages: Spanish and Catalan, but also English, French, Italian, German, Galician and even Esperanto. Inform yourself the best that you can, and form your own opinion.
We set social structure together, and together we must reorder it and improve it.
sábado, 16 de mayo de 2009
Die Utopie ist dringend und notwendig – Deutsch
Es ist offensichtlich, dass die aktuelle soziale Struktur zu viele Probleme und zu viele Irrationalitäten aufweist und nicht sehr viel länger aufrecht erhalten werden kann. Sicher muss etwas geschehen, etwas, das den gegenwärtigen Stand der Dinge grundlegend verändern wird.
Wir haben der Armut und der Unterernährung zuviel Raum gelassen, den Menschenrechtsverletzungen, dem Raubbau natürlicher Ressourcen.
Wir haben uns nicht genug gekümmert um Kindheit und Jugend, nicht genug um die Familie als grundlegende Institution, noch um Drogenabhängigkeit, um Erziehung, um die Gründe für bewaffnete Konflikte und Kriege, die Weitergabe von ethischen und geistigen Werten, die wirklich über der materialistischen Besessenheit und den egoistischen individualistischen Gefühlen stehen.
Wir haben gewaltsame und irrationale Auseinandersetzungen zu weit fortschreiten lassen, Auseinandersetzungen zwischen menschlichen Gruppen aufgrund von unterschiedlichen Auffassungen in Bezug auf Rassen- oder Genderfragen, aufgrund unterschiedlicher sexueller Orientierung, Ideologie oder Politik, kosmologisch-philosophische und religiöse Differenzen, uralten Hass, der von Generation zu Generation weitergegeben und geschürt wird. Offensichtlich sind auch die gemeine Kriminalität und die Gewalt auf der Straße alarmierend gewachsen und haben ein Gefühl von Unsicherheit unter den Bürgern geschaffen, die zu dem passt, was bedauerlicherweise im sozialen Geflecht geschieht.
Der katalonische soziale Aktivist Agustí Chalaux behauptet, dass uns Liebe und Solidarität, in intelligenter Form in ökonomischen Termini und in adäquaten institutionellen Strukturen ausgedrückt, den größten Mehrwert geben kann. Dieser intelligente soziale Philosoph hatte den Mut und die Geduld, ein sehr komplettes soziales Projekt zu entwickeln, das integral und sehr umfassend ist, das machbar ist und das in seiner Gesamtheit eine Lösung für die meisten der großen Probleme unserer Zeit ist, aber seine Worte und seine Ideen gehen in gewissen akademischen Kreisen um, haben bisher aber noch nicht geschafft, in angemessener Weise weder in die sozialen Kommunikations-Medien zu kommen, noch auf die wichtigsten und prominenten politischen Entscheidungsebenen.
In den vorangegangenen Abschnitten wurde eine Reihe von sozialen Problemen und Problemen des Miteinanderlebens genannt, die die meisten Personen als gravierend oder sehr gravierend einstufen würden, die wir als soziale Einheit aber nicht adäquat behandeln.
Wir versuchen, die Armut und die Bedürftigkeit durch internationale Zusammenarbeit zu lösen, durch soziale Programme, finanziert vom Steuersystem und seit kurzem durch die bekannten Jahrtausend-Ziele. Diese Mechanismen haben sich natürlich deutlich als unzureichend herausgestellt.
Wir versuchen einerseits die Probleme zu lösen, die durch den Drogenhandel, durch Drogenschmuggel und ganz besonders durch den Waffenschmuggel entstehen, durch die gemeine Kriminalität und durch ein strafendes und repressives System, das bisher zweifelsohne nur sehr wenige und sehr magere Ergebnisse aufweisen kann. Und schlimmer noch, unsere Strafanstalten sind überfüllt und verkommen und die Rehabilitation und Rück-Eingliederung der Rechtsbrecher ist dort nur theoretisches Ziel, das sich in der Realität nicht spiegelt.
Erziehung und Bildung handhaben wir ganz offensichtlich nicht so, wie es sein sollte, wenigstens in gewissen Gebieten und in bestimmten sozialen Gruppen, da sowohl die Zahl der Schulabbrecher als auch die der Analphabeten weiterhin viel zu hoch ist.
Die Erziehung zu Werten wird heute in vielen Bildungsinstitutionen gefördert und spiegelt sich sicher in bestimmten pädagogischen Inhalten und auch in der kommerziellen Werbung, die gewisse Bildungseinrichtungen machen, aber die Erzieher integrieren sich dann völlig ins zivile Leben, in die Arbeit und dort finden sie Unternehmen, die schwarz arbeiten und solche, die es nicht tun, sie sehen Korruption und Macht-Missbrauch auf unterschiedlichen Ebenen, weit verbreitete Steuerhinterziehung, Bestechungen und Schmiergelder, öffentliche Angestellte, die gegen eine kleine Kommission Angelegenheiten „regeln“, Unregelmäßigkeiten und Missbrauch in den Arbeitsverhältnissen, sowohl vonseiten der Arbeitgeber als auch der Arbeitnehmer, professionelle Spekulanten, die große Geschäfte machen und auch solche, die gelegentlich spekulieren und sich auf unverdiente und ungerechte Art bereichern, etc. Und beim Anblick dieser Realität, lassen zahlreiche Personen ihre Prinzipien beiseite und fragen sich: Warum sollte nicht auch ich?
Der Klimawandel und die Verschlechterung der Umwelt sind eine sehr gut spürbare Realität, aber die Regelungen auf internationalem und auch unterschiedlichen nationalen Niveaus sind nicht angemessen und übertrieben. Die Anzeichen für die bereits entstandene Umweltschäden und die ökonomische Evaluierung dieser Schäden geschieht viel zu langsam und mit Schwierigkeiten und Entschädigungen werden nur sehr spät und selten gezahlt, sodass diese Aktionslinie weder ein Element der Reparation noch der Abschreckung oder der Warnung ist. Das Geld ist der große Verteiler der Ressourcen und Möglichkeiten und könnte sehr wohl ein ordnendes Element sein, das mit größerer Kraft wirken könnte als spirituelle Werte und selbst moralische Prinzipien. Aber, wie Agustí Chalaux selbst sagte, das Geld, das wir derzeit benutzen, ist weder informativ noch verantwortlich und als direkte Konsequenz dieses Faktors, leben wir in einer Wirtschaft mit einem offensichtlichen wirtschaftlich-monetären Chaos, dass trotzdem einen allgemeinen Fortschritt zeigt, der in gewisser Weise vorauszusehen ist und der sich in bestimmten Grenzen bewegt.
Das nominative oder namentliche Geld zusammen mit einer klugen monetären Technik, die es erlaubt die Kette von Zahlungen und Überweisungen vollständig und weltweit zu verfolgen, können eine große Veränderung in unserem Zusammenleben und unserer sozialen Entwicklung bewirken. Die Justiz und die Regierung müssen heute mit zu großen Unsicherheiten arbeiten; das telematische Geld, das bereits vor mehr als fünfundzwanzig Jahren in katalonischen akademischen Reihen vorgeschlagen wurde, könnte einen radikalen Wandel dieser Situation darstellen.
Denkt man nur an die chaotische aktuelle Situation und den eventuellen Wandel in der Natur des Geldes, werden sich viele davon überzeugen, dass die einzige mögliche und machbare Lösung für unsere kranke sozioökonomische Struktur darin liegt, mehr Automatisierung in Finanzgeschäften zu entwickeln, inklusive des Gebrauchs von virtuellem Geld sowohl eine substanzielle Verbesserung in der Standarisierung und dem zentralisierten Gebrauch der Datenbänke und der Geschichte der Transaktionen. Diese Entwicklung kann problemlos in einem einzigen Land beginnen oder in einer Währungsunion, aber kurz- oder langfristig müsste sie sich auf die ganze Welt ausdehnen, da wir den Steuerparadiesen sonst einen zu großen Raum lassen würden.
Die Steuerparadiese sind der schwächste Punkt im liberalen Kapitalismus. Die oft so pompös benannten Internationalen Finanzzentren sind der Krebs der liberalen Ökonomie und Wettbewerb. Die Steuern und Abgaben sind der Preis für eine zivilisierte Gesellschaft, aber Vorsicht, die Steuerhinterziehung und die Steuerparadiese können nicht mit Kontrollen und Strafen bekämpft werden, ebenso wenig mit Aufrufen zur Solidarität und Moral, sondern es muss ein angemessenes Netz der Finanz-Institutionen eingerichtet werden, in dem die Steuerhinterziehung und die Steuerparadiese praktisch inexistent sind.
Diese Betrachtungen enden hier mit einer Empfehlung und einer Einladung an die Leser. Die soziale Ordnung und die Problematik unserer Zeit sind Verantwortung aller und wir täten sehr schlecht daran, wenn wir diese Fragen ausschließlich in Händen der Techniker und/oder der Regierungen und /oder der Vorstände der Internationalen Organisationen ließen. Jeder sollte –im Rahmen seiner Möglichkeiten- ein kritisches Verhalten zeigen, kreativ und innovativ denken bei der Suche nach Information und Lösungen und auch in der Verbreitung dieser Bedenken sei es mündlich oder mit den jeweiligen Mittel, die zur Verfügung stehen.
Diejenigen, die wir uns seit einiger Zeit tiefer mit den Lösungen beschäftigen, die Agustí Chalaux entwickelte, bestätigen, dass der beschriebene Weg so umfassende Vorteile bringen könnte, dass die Aufzahlung derselben leicht glauben macht, dass eine unerreichbare und nicht zu verwirklichende soziale Utopie beschrieben wird. Aber die Utopie ist dringend und notwendig.
Wir bitten den eventuellen Leser dieser Zeilen nicht, dass er uns wortwörtlich glaubt; wir möchten nur, dass er unsere gerade dargelegte Meinung beachtet und sich so gut wie möglich darüber informiert, z.B. über eine entsprechende Suche im Internet, mit einem Besuch der Seiten, deren elektronische Adressen lauten:
http://www.bardina.org/ http://www.chalaux.org/
In diesen Web-Seiten gibt es umfassende Information über die gerade behandelten Fragen, als Video oder Dokumente und übrigens in mehreren Sprachen: Spanisch und Katalonisch, aber auch Englisch, Französisch, Italienisch, deutsch, Gallizisch und sogar Esperanto. Informieren Sie sich so gut wie möglich und bilden Sie sich Ihre eigene Meinung.
Die soziale Struktur bauen wir gemeinsam und alle zusammen müssen wir sie neu ordnen und verbessern.
La utopía es muy urgente y muy necesaria
Obviamente la estructura social actual presenta demasiados problemas y demasiadas irracionalidades, y no podrá ser sostenida por mucho tiempo más… Seguramente algo notorio y trascendente va a tener que ocurrir a nivel político-social-económico-medioambiental, con la consecuencia directa o indirecta de provocar un cambio cualitativo y profundo en el estado actual de cosas…
Hemos dejado demasiados espacios a la pobreza y a la indigencia, a las violaciones de los derechos humanos, a la malversación de los recursos naturales…
La familia es la institución básica de nuestra sociedad, y no le hemos dado suficiente atención ni a sus necesidades cotidianas, ni a las necesidades de educación y de esparcimiento y de protección de sus niños… Tampoco nos hemos ocupado como se debe de los adictos a los narcóticos, y de las causas que generan conflictos armados y guerras… Tampoco hemos sabido insistir de manera adecuada en la transmisión de valores éticos y espirituales y de convivencia social, como para que estas ideas y orientaciones de vida realmente se hubieran impuesto en forma generalizada a las obsesiones materialistas y a los sentimientos individualistas más egoístas…
Hemos dejado progresar demasiado los enfrentamientos violentos e irracionales entre grupos humanos, por diferencias raciales, por diferencias de género o de orientación sexual, por diferencias ideológicas y políticas, por diferencias cosmológico-filosóficas y religiosas, por odios ancestrales que se transmiten de generación en generación… Obviamente también los llamados delitos comunes y la violencia callejera han progresado en forma alarmante, creando una sensación de inseguridad ciudadana que es acorde con lo que lamentablemente ocurre en el entramado social…
A nivel particular muchísimas familias observan la realidad social como un ambiente peligroso e imprevisible, desde donde sus integrantes pueden recibir ataques violentos de todo tipo, desde donde se cierran puertas que viabilicen las estrategias de supervivencia a través del propio trabajo o al menos a través de convenientes ayudas sociales… A nivel individual y también como cuerpo social somos generalizadamente mezquinos, desconfiados, y poco solidarios… A nivel de la población humana hay una realidad que no podemos desconocer: Hay individuos y familias enteras que sufren hambre, y que a veces se alimentan tan mal que incluso ello les genera consecuencias negativas permanentes; también hay individuos y familias enteras en situación de calle o muy precariamente alojados, y que por tanto sufren directamente las inclemencias climáticas y de esa situación, frío, mojaduras, descanso en muy malas circunstancias, condiciones de higiene deplorables…
El activista social catalán Agustí Chalaux afirmaba que el amor y la solidaridad expresados inteligentemente en términos económicos y en adecuadas estructuras institucionales, nos puede llegar a brindar la mayor de las plusvalías… Con toda evidencia este inteligente filósofo social tuvo la audacia y la constancia de elaborar un muy completo proyecto social, que es integral y abarcativo, que es factible, y que en su conjunto logra dar solución a la mayoría de los graves problemas de nuestra época, pero sus palabras y sus ideas circulan sí en ciertos medios académicos pero aún no han logrado llegar como se debe ni a los grandes medios de comunicación social ni a los círculos político-decisorios más prominentes e importantes…
En los párrafos anteriores se han enumerado una serie de problemas sociales y de convivencia que la enorme mayoría de las personas identificarán claramente como cuestiones graves y muy graves, pero que indudablemente como cuerpo social estamos manejando de una manera muy inadecuada…
Veamos, la pobreza y la indigencia intentamos solucionarlas a través de la cooperación internacional, a través de los programas sociales nacionales financiados por el sistema fiscal, y recientemente a través de los muy conocidos objetivos del milenio… Obviamente estos mecanismos se han revelado claramente insuficientes…
Por su parte intentamos resolver los problemas generados por el narcotráfico, por el contrabando de mercancías y en particular por el contrabando de armas, y por la llamada delincuencia común, a través de un sistema punitivo y represivo que sin duda y hasta ahora ha dado resultados positivos muy escasos y magros… Y para peor, nuestras estructuras carcelarias están tan recargadas y deterioradas, que la reeducación y reinserción de los infractores es allí un mero objetivo teórico que no se refleja en la realidad…
La educación obviamente no la manejamos como se debe, al menos en ciertas regiones y al interior de ciertos grupos sociales, pues la deserción escolar y aún el analfabetismo continúan siendo demasiado elevados…
La educación en valores hoy día es promocionada por numerosos institutos de enseñanza, y ciertamente está reflejada en ciertos contenidos pedagógicos y también en la propaganda comercial que ciertas instituciones educativas realizan, pero bueno, luego los educandos se integran de pleno a la vida civil y laboral, y allí encuentran empresas que llevan contabilidades en blanco y en negro, así como también corrupción y abusos de poder a distintos niveles, defraudación impositiva generalizada, coimas y sobornos, funcionarios públicos que ofrecen arreglos administrativos a cambio de una pequeña comisión, irregularidades y abusos cometidos en el ámbito laboral tanto por empleadores como por empleados, especuladores de alto vuelo y de gran profesionalidad, y también especuladores oportunistas y ocasionales, que se enriquecen ellos en forma inmerecida e injusta, etcétera, etcétera… Y vista esta realidad, una gran cantidad de personas deja sus principios de lado preguntándose: ¿Y por qué yo no también?…
El cambio climático y el deterioro del medio ambiente son una realidad bien palpable, pero las reglamentaciones tanto a nivel internacional como en los distintos niveles nacionales son inadecuadas y están exageradamente atomizadas… Las pruebas sobre daños ecológicos causados y la evaluación económica de esos daños se establecen con excesiva lentitud y dificultad, y por cierto el cobro de indemnizaciones como resarcimiento se concreta tardíamente y en pocos casos, por lo que esta línea de acción no actúa adecuadamente hoy día, ni como elemento de reparación, ni como fuente de disuasión o de persuasión… Sin embargo, el dinero es el gran distribuidor de recursos y de oportunidades, y bien podría ser un elemento ordenador que actúe con mayor fuerza que los valores espirituales y que los propios principios morales… Pero claro y como bien dijo Agustí Chalaux, el dinero que actualmente utilizamos no es ni informativo ni responsable, y por causa directa de este factor vivimos en una economía con un evidente caos económico-monetario, y que a pesar de lo cual presenta un desarrollo general en cierta medida previsible y que fluctúa entre ciertos límites…
El dinero nominativo y una inteligente ingeniería monetaria que permita el completo seguimiento de las cadenas de pagos y de transferencias a nivel global, a nivel mundial, podrían significar un vuelco muy importante en nuestras relaciones de convivencia y en nuestro desarrollo social… El Poder Judicial y el Gobierno en buena medida hoy día deben actuar en entornos de incertidumbre demasiado importantes, y el dinero telemático propuesto desde hace más de veinticinco años en los medios académicos catalanes, podría representar un cambio radical de esta situación…
A poco que se piense en la caótica situación actual así como en el eventual cambio en la naturaleza del dinero, muchos serán los que se convencerán de que la única solución posible y viable para nuestra enferma estructura económico-social, está en evolucionar hacia un mayor grado de automatización en los manejos financieros, incluyendo el uso de monedas virtuales, y también incluyendo una mejora sustantiva en la estandarización y manejo centralizado de los bancos de datos con los históricos de las transacciones… Esta evolución perfectamente puede comenzar por un único país o por una determinada unión monetaria, pero a la corta o a la larga debería poder extenderse a la casi totalidad del planeta, pues caso contrario estaríamos dejándole un espacio demasiado valioso a los paraísos fiscales…
Los paraísos fiscales son el punto más débil del capitalismo liberal… Los a veces pomposamente llamados “Centros Internacionales de Servicios Financieros” son el tumor canceroso de la economía liberal y competitiva… Los impuestos y las tasas son el precio a pagar por una sociedad civilizada, pero atención, la evasión fiscal y los paraísos fiscales no deben ser combatidos con inspecciones y con puniciones, y ni siquiera con llamados a la solidaridad y a la moralidad, sino que debe instituirse un conveniente entramado financiero-institucional en donde la evasión fiscal y los paraísos fiscales sean de hecho prácticamente inexistentes…
Estas reflexiones terminan aquí con una recomendación y una invitación a los lectores… El ordenamiento social y las problemáticas de nuestro tiempo son responsabilidad de todos, y mal haríamos si cómodamente dejáramos estas cuestiones exclusivamente en manos de los técnicos, y/o de los gobernantes de turno, y/o de los jerarcas de los organismos internacionales… Cada cual a su nivel y de acuerdo a sus posibilidades debe tener a este respecto una actitud atenta, en la reflexión creativa e innovadora, en la búsqueda de información y de soluciones, y también por cierto en la difusión de estas inquietudes a través del boca a boca y/o a través de los medios que se tuvieran a la mano…
Quienes desde hace algún tiempo hemos profundizado en la soluciones que concibió y expresó Agustí Chalaux, acreditamos que el camino así marcado podría aportarnos ventajas de tal envergadura, que la simple enumeración de las mismas podría hacer creer con facilidad que se está describiendo una utopía social inalcanzable e irrealizable… Pero la utopía es urgente y necesaria…
No pedimos al eventual lector de estas líneas que crea en nosotros a pie juntilla; solamente le pedimos que tome en cuenta la opinión recién expresada, y que se informe como mejor pueda al respecto sobre el interesante proyecto social recién mencionado, por ejemplo haciendo convenientes búsquedas en Internet, por ejemplo visitando los sitios cuyas direcciones electrónicas aquí se indican acto seguido: http://www.bardina.org/ http://www.chalaux.org/ http://www.finaly.org/
En los recién citados sitios web existe abundante información sobre las cuestiones recién marcadas, tanto en formato video como en formato documento, y por cierto en diferentes idiomas: el español y el catalán, pero también el inglés, el francés, el italiano, el alemán, el gallego, e incluso el esperanto… Infórmese como mejor pueda, y vaya formándose su propia opinión…
La estructura social la hacemos entre todos, y entre todos debemos reordenarla y mejorarla…
lunes, 13 de abril de 2009
¿Quiénes tienen más chance de triunfar?
El futuro pertenece a quienes creen en la belleza y en el contenido de sus sueños…
Atrevámonos a soñar… Atrevámonos a pensar en una sociedad más racional, más justa, más solidaria, más equitativa, donde los recursos y las oportunidades se encuentren mejor distribuidos… Atrevámonos a imaginar nuevos paradigmas sociales que sean sabroso y caliente chocolate para el alma…
¿Quienes deben pagar la actual crisis económica-financiera global?
Sin lugar a dudas, con toda certeza, estamos sufriendo una profunda crisis económico-productiva mundial, que comenzó en Estados Unidos de América, pero que por efecto contagio, pero que por efecto dominó, se amplia y se expande día a día al resto de los países de este planeta… Europa, los gigantes asiáticos, las economías emergentes de América Latina, los países más pobres y atrasados de este mundo… Ningún país, ninguna región, parece poder quedar al margen de este proceso global de retracción económica, de descenso en el nivel de ocupación, y de descenso en el nivel medio de bienestar y de riqueza especialmente en las capas más bajas…
Cierto, algunos países recibieron el golpe antes que otros… Cierto, pareciera que algunas regiones van a ser más afectadas que otras… De todas formas, de una u otra manera, la gran mayoría de la población mundial va a ser perturbada por este gran desequilibrio financiero y productivo, que impactó primero de pleno en las zonas más dinámicas y emprendedoras y ricas de este planeta… Con certeza aún los refugiados van a ser afectados… Algún perjuicio sin duda también va a recaer aún en quienes hoy día ya viven en condiciones precarias e indignas, en campos de albergue apresuradamente instalados en ciertas partes conflictivas del planeta, generalmente en las cercanías de fronteras donde ha estallado alguna guerra civil o algún enfrentamiento étnico-religioso o alguna grave catástrofe climática… Pareciera que los desplazados por guerras, o por persecuciones políticas o étnicas, o por meteoros climáticos, o por hambrunas, ya están hoy día en condiciones demasiado precarias, y difícil es imaginar que también ellos caigan aún más bajo… Pero en los grandes números aún esta pobre gente va a sufrir mayores perjuicios y dificultades, pues con notoriedad la ayuda humanitaria se está escatimando, se está retaceando, se está retrayendo, pues obviamente las infraestructuras serán reconstruidas con mayor lentitud y precariedad, pues los llamados objetivos del milenio casi con seguridad sufrirán muy mucho en sus alcances y en sus efectos, pues los planes alimentarios de emergencia cada día tienen mayores desafíos a enfrentar así como menores recursos para distribuir…
La ayuda humanitaria y la cooperación internacional se están restringiendo, se están escatimando, se están reduciendo a nivel global, puesto que el mundo rico con soltura y ligereza aplaca sus sentimientos de compasión y conmiseración, bajo el pretexto de que la caridad bien entendida empieza por casa…
¡Que la crisis no la vuelva a pagar el pueblo!… ¡Que la vuelta a la normalidad no recaiga nuevamente sobre las espaldas de los trabajadores y de los más débiles!… ¡Que no vuelvan a sufrir aún más quienes en el pasado ya sufrieron más!…
Esta son las consignas y los reclamos de tono demagógico, que con frecuencia están en boca de sindicalistas, de analistas políticos, de dirigentes sociales, de promotores y militantes ideológicos, y aún de unos cuantos dirigentes políticos y mandatarios en ejercicio…
Por cierto, en un análisis emotivo y superficial, cualquier persona honesta y de buena voluntad debería estar de acuerdo con estos gritos de alarma y con estos pedidos de ayuda…
Con certeza hubo sectores que mucho se beneficiaron mientras se gestaba la burbuja especulativa-financiera, y también hubo sectores que mucho lucraron aún luego del repentino estallido de esa irracional y artificial burbuja de precios y de demandas… En teoría, en abstracto, pareciera por tanto lógico que esos sectores que actualmente son pudientes y muy pudientes, y que mucho se beneficiaron recientemente en forma un tanto artificial, sean quienes en prioridad participen en mayor proporción en el esfuerzo mundial por retomar la senda del crecimiento y del progreso…
El razonamiento que acaba de ser expuesto pareciera que no puede ser rebatido con argumentos racionales y honestos… De todas maneras, permítaseme la libertad de hacer un llamado de atención, y de poner un toque de duda y de prevención en cuanto a la implementación de estos propósitos sin duda loables y compartibles en el plano teórico…
¿Sobre qué bases vamos a instaurar la redistribución de este esfuerzo que en abstracto se está reclamando a gritos?…
Los sistemas fiscales nacionales con notoriedad ya han demostrado sus límites y sus debilidades… Las Direcciones Generales de Renta de los diferentes países del mundo, ya han develado distintas falencias e imperfecciones, funcionamientos internos arbitrarios y costosos en su operatividad, absurdos mecanismos de recaudación, escasa eficiencia en los controles, aún maniobras dolosas con la propia complicidad de funcionarios, y así podríamos seguir en una larga enumeración de inconvenientes y de desajustes… Los impuestos y las tasas sirven hoy día para obtener fondos para con ellos poder solventar las funciones básicas de los Estados, pero los efectos de redistribución de recursos y de oportunidades que con ellos se dice querer alcanzar, con toda evidencia son muy precarios, son muy chambones, son conseguidos con gran torpeza y arbitrariedad… La fiscalidad imperante en los distintos países del mundo por cierto está mejor organizada en algunos casos, y presenta irracionalidades varias en otros casos, pero en líneas generales en todos lados ella es mucho más fiscalista que finalista… Las bases imponibles están mal implementadas, contienen errores, y aplican criterios que apenas si tienen un barniz de justicia social y de racionalidad…
¿Cómo podría implantarse una fiscalidad mejor fundada y más justa?… ¿Cómo podrían mejorarse los planes de ayuda social?… ¿Cómo podríamos retomar una senda de crecimiento en el bienestar social, sin que ella tuviera unos abruptos bajones de vez en cuando, provocados por las recurrentes crisis sectoriales o globales?…
¿Cómo podrían funcionar los mecanismos de libre mercado, sin caer en situaciones injustas, desequilibradas, notoriamente desparejas en cuanto a oportunidades y a capacidades de negociación, pero sin perder sus promocionadas y claras ventajas en cuanto a eficiencia, innovación, comodidad de acceso, capacidad para no dejar demanda insatisfecha con capacidad de pago?…
He aquí muy buenos interrogantes, que parecieran que no tienen respuesta sencilla y conducente…
Las teorías económicas hasta la fecha parecieran ser muy imperfectas, pues ellas pretenden vestirse con un ropaje de cientificidad y racionalidad, aunque las soluciones que brindan los modelos por ellas propuestos aún adolecen de defectos demasiado pronunciados… Y la sociología tampoco aporta hoy día gran cosa…
El problema básico es que la humanidad no sabe donde está parada… La cuestión fundamental es que hoy día es imposible conocer en detalle y profundidad la realidad económica y social imperante en este mundo globalizado y limitado… Sí, tal vez se pueden hacer estimaciones globales más o menos acertadas, sí, hay ciertos cálculos estadísticos por muestreos o censos que nos dan una información valiosa para la planificación, pero un conocimiento relativamente profundo caso por caso y día a día, es prácticamente imposible de lograr en forma generalizada con la actual organización socio-comercial…
Para poder empezar a dar respuestas razonables y eficientes a los grandes males de nuestra época, lo que debe hacerse es mejorar las herramientas de visualización de las realidades económicas y sociales… Y por cierto, estas nuevas herramientas son muy difíciles de imaginar y de describir, inmersos como estamos en una fundamentación paradigmática que parece inamovible e incuestionable… Para tener alguna chance de éxito en esta empresa, debemos poder ser capaces de salir del plano de la actual realidad socio-económica y de la agobiante presión de ciertos paradigmas socio-financieros que parecen intocables y sagrados…
Para encarar esta cuestión, tal vez convendría que con humildad apliquemos los muy sanos principios y estrategias para el análisis de problemas, tal como por ejemplo los recomendados por el Doctor Edward De Bono…
El pensamiento lateral o pensamiento creativo o pensamiento divergente, que en la terminología anglosajona se designa por “lateral thinking”, es una guía para el análisis de situaciones, con específicos procedimientos para manejar conceptos, percepciones, soluciones, intervenciones en el entorno social, y así se promueven resultados novedosos y creativos, y se aumenta el número de alternativas posibles de considerar…
El Doctor Edward De Bono (de nacionalidad inglesa y nacido en la Isla de Malta) encasilla las rutinas de análisis que se proponen, dándoles un nombre, describiendo sus diferentes pasos, y estimulando la realización de ejercicios de práctica en quienes deseen entrenarse en estos métodos…
El pensamiento lateral actúa liberando a la mente del efecto polarizador de las viejas ideas, de los viejos paradigmas, de los tradicionales métodos de análisis a los que se suele llamar pensamiento vertical o pensamiento deductivo-lineal o pensamiento lógico-racional o pensamiento convencional, para así mejor diferenciar estos enraizados esquemas de las nuevas ideas propuestas por De Bono…
Con certeza, una vez vistas algunas de las rutinas propuestas por De Bono, muchos son quienes manifiestan que en forma intuitiva ellos ya han aplicado un procedimiento similar ante alguna situación específica, ante algún específico requerimiento del medio… Estas afirmaciones en muchos casos son ciertas, pero ello no invalida para nada la bondad de la metodología del pensamiento lateral…
En vez de aspirar a que perspicacia, creatividad, ingenio, innovación, se manifiesten aquí y allá en forma espontánea, De Bono plantea un método racional y bien delineado, de manera que con esta técnica es posible lograr alternativas diferentes, en una forma conciente y deliberada y sistemática… Y precisamente aquí radica la virtud y potencialidad de este procedimiento…
Miremos el futuro con optimismo y con esperanza…
No nos dejemos apesadumbrar por algunas de las contradicciones de nuestros tiempos… A pesar de algunas sombras y de algunos peligros, hay una luz adelante en el camino…
Y en materia social, ¿cuál podría ser hoy día la joya de la corona?…
Cierto, Edward De Bono nos da muy útiles rutinas para analizar y resolver problemas… Cierto, Agustí Chalaux de Subirà nos señala el camino de la moneda telemática y de un completo y racional proyecto social… Pero en lo que concierne a las cuestiones sociales, no solamente debe lograrse una buena propuesta, sino que también hay que poner en razón a un gran número de personas, porque en caso contrario se corre el riesgo de predicar en el desierto, porque en caso contrario se corre el riesgo de no ser entendido, o peor aún, de ni siquiera ser escuchado…
Para poder inducir importantes cambios sociales, y para convencer y persuadir a un buen porcentaje de población sobre la necesidad de recorrer un determinado camino, no importa tanto dar cifras o detallar en exceso el adecuado funcionamiento de una potencialmente buena e innovadora herramienta social… Por encima de todo lo que importa son los valores, la emotividad, los sentimientos que se invocan y que se inducen… Obviamente los detalles pueden venir luego, de la mano de los especialistas y de los técnicos y de quienes se deberán encargar de las propias implementaciones…
El dinero telemático y los nuevos enfoques societarios conviene que sean impulsados por un binomio: cambio, y esperanza…
Obviamente muchas cosas continuarán siempre haciéndose de la misma forma, por simple acostumbramiento, por el solo hecho de que los procedimientos establecidos nos proporcionan ciertas ventajas y ciertas seguridades… Y pocas veces se piensa en mejorar procesos bien consolidados por una práctica social de años… Muchos de nosotros somos conservadores, y privilegiamos ventajas y seguridades por encima de desvíos y dificultades, y privilegiamos ventajas y seguridades ya conocidas por encima de ventajas y seguridades por conocer…
En definitiva, en resumen, y ya para concluir este culturema, ¿cuales son las consecuencias o las enseñanzas que podrían sacarse de los señalamientos y de las observaciones que arriba hemos indicado?…
Tomemos ejemplo de dos personajes, de dos figuras que brillan en el firmamento: Edward de Bono (mayo 19 de 1933) y Agustí Chalaux de Subirà (julio 19 de 1911 – abril 26 de 2006)… Tomemos ejemplo de los dos ejes centrales de estos dos grandes pensadores: el pensamiento lateral y la moneda telemática… Bebamos de estas dos fuentes del saber… Reflexionemos sobre las ideas que estos dos intelectuales nos legaron, y con bríos renovados tomemos la senda de la creatividad y de la innovación y de la reorganización de nuestra estructura social…
Yo tengo una aspiración, yo tengo un sueño
“De una manera o de otra, todos los seres humanos estamos entretejidos en la tela del destino” – Martin Luther King (enero 15 de 1929 – abril 4 de 1968)…
Yo tengo un faro de esperanza, yo tengo un sueño que quiero ver cumplido, yo tengo el anhelo de contribuir de alguna forma a la construcción de una sociedad más justa, más solidaria, más equitativa, más racional, donde los hombres y las mujeres sean más naturalmente solidarios unos con otros, y donde los recursos y las oportunidades se encuentren más armoniosamente distribuidos…
Las crisis económicas y los cataclismos de todo tipo, incluidos los enfrentamientos civiles, y las conspiraciones terroristas, y los desencuentros raciales y de género, notoriamente no reconocen fronteras ni respetan credos… Y la contaminación ambiental tampoco reconoce fronteras, y hoy día se está manifestando en una forma tan amplia, que seguramente va a afectar en forma trascendente a la especie humana y a la vida silvestre…
Éste no es tiempo para encogerse de hombros, y vestirse con los ropajes de la indiferencia… Éste no es tiempo para tomar la droga de la resignación y de la pasividad…
Ahora, en este año 2009, hagamos un esfuerzo para bien conmemorar el veinticinco aniversario de la fundación del Centro de Estudios Joan Bardina… Yo tengo un sueño hoy, y es el de elevarnos del oscuro y desolado valle de la desinformación económica y social, para caminar al frente hacia el iluminado camino de la moneda telemática, nominativa, informativa, escritural…
Yo tengo un sueño hoy, y en realidad no pido mucho… Aspiro a algo razonable, realizable, y no exageradamente ambicioso… No pido que se implante el dinero telemático en forma improvisada y apresurada… Primariamente lo único que por el momento deseo con todo mi corazón, es que se estudie con seriedad y amplitud la factibilidad de la aplicación de la recién señalada herramienta social, instrumento novedoso que por cierto es factible de lograr y de aplicar, y que sin duda permitirá introducir trascendentes cambios en nuestra estructura de intercambios…
Yo tengo un sueño hoy, pues aspiro a que el dinero telemático sea agregado como tema corriente, en las agendas mediáticas y políticas del mundo entero… Pongamos todos nosotros mucha, muchísima atención, y no seamos indiferentes, y no nos dejemos llevar por una inercia cómoda: El dinero telemático puede llegar a cambiar sustantivamente la calidad de la vida social…
Separando la paja del trigo: Estrategias para un mejor manejo personal
Para entender algo de esta crisis socio-financiera mundial de este fin de la primera década del milenio, hay que entender las razones profundas que la produjeron o desencadenaron…
Sea por lo que sea, sea por condiciones fortuitas o por aplicación de una bien meditada estrategia especulativa de muy alto nivel, se produjeron las condiciones ideales para el desarrollo de un artificial y pronunciado aumento de precios y de demandas en ciertos y determinados sectores, o sea falsa y engañosamente se fue inflando una burbuja económico-especulativa que luego estalló, y que generó consecuencias en cascada que aún se siguen manifestando… Por cierto, en lo medular nos estamos refiriendo a las injustificadas alteraciones de precios en el sector inmobiliario estadounidense en los años 2005 a 2008, así como a las volátiles cotizaciones de ciertos valores bursátiles, y así como a los rendimientos y valores de ciertos fondos de inversión, y así como a las variaciones en los precios de ciertas materias primas y de ciertos productos alimenticios, y así como a problemas de liquidez ocurridos en ciertas instituciones bancarias tanto dentro como fuera de EEUU… Y claro, en este contexto los especuladores actuaron y en muchísimos casos ganaron…
Hubo pues una enorme transferencia de recursos y de riqueza desde los sectores productivos, desde los propios consumidores, desde algunos inversionistas, e incluso desde algunas instituciones bancarias y desde algunos fondos de inversión, hacia las arcas de los especuladores exitosos…
¿Consecuencias?… Los consumidores redujeron significativamente sus consumos, pues claro, disponían de menos dinero, disponían de menos efectivo y de menos ingresos, tenían un acceso más dificultoso al crédito, y además en promedio fueron más cautos y más conservadores… Por su parte muchos especuladores ganaron, muchísimos especuladores de una u otra forma vieron incrementado su patrimonio, pero ellos no aumentaron significativamente sus propios consumos, y en muchos casos ni siquiera invirtieron, pues quedaron a la expectativa, pues quedaron esperando ver cómo evolucionaban las cosas, pues quedaron aguardando el momento oportuno para obtener otra buena tajada de riqueza en alguna compraventa, en algún remate, en alguna desesperada negociación donde estaba en juego la viabilidad de una empresa… Por su parte el sector productivo (léase la economía real, la economía productiva) en parte redujo su producción global, por falta de crédito, por reducción de sus reservas, por descenso en los pedidos, etcétera… Y por su parte muchos trabajadores debieron aceptar reducciones acordadas en sus salarios, e incluso muchos de ellos quedaron sin trabajo o debieron dedicarse a trabajos informales y precarios, lo cual afectó profundamente el ingreso de muchísimas familias…
Con toda certeza, al haber más trabajadores desocupados o inestablemente ocupados, al haber más incertidumbre generalizada, y al haber un pronunciado descenso de la actividad económica, la sociedad en su conjunto obviamente pasó a generar menos riqueza; en consecuencia, no solamente la riqueza en sus distintas formas se concentró en menos manos, sino que a nivel del mundo entero la riqueza generada promedio per cápita disminuyó significativamente… Así, algunos ricos y algunos vivillos se enriquecieron artificial e injustamente, mientras que el resto de la población se empobreció, y el balance general de este cambio de situación fue indudablemente deficitario, fue obviamente negativo desde el punto de vista social pero también desde el punto de vista estrictamente numérico…
¿Cómo se para este proceso? ¿Cómo se rompe el círculo vicioso? ¿Cómo se sale de esta situación de crisis?…
Bueno, puede haber estrategias de corto y de muy corto plazo para intentar salir de la crisis o intentar suavizar la crisis, como por ejemplo restablecer el crédito, de alguna forma mejorar la confianza de los agentes económicos, y también creando dinamismo a través de la obra pública… Pero lo fundamental hacia el futuro y en el largo plazo, es intentar reducir o incluso eliminar la especulación, pues ella capta recursos para los especuladores pero sin que ellos aporten efectiva riqueza a cambio; peor aún, la especulación en muchos casos es predatoria, pues no implica un simple cambio de mano de un recurso o de una riqueza, sino que frecuentemente genera situaciones de entorno negativas en cuanto a la situación social, en cuanto a la propia producción, en cuanto a la propia generación de innovaciones y de oportunidades…
Y en mi modesta opinión, un mundo sin especulación, y sin sobornos, y sin corrupción, e incluso sin ilícitos o con mucho menos ilícitos, es cabal y perfectamente posible, pero a condición de abandonar el uso del actual dinero innominado y desinformativo, en favor de una nueva especie de dinero, en favor del dinero telemático, informativo de transacciones, por cierto nominativo y escritural, y que además tenga una operatoria tal que permita un cómodo seguimiento de las cadenas de pago y de las cadenas de transferencias… Obviamente, esto no va a poder lograrse de la noche a la mañana, pues requerirá un tiempo…
El investigador social catalán Agustí Chalaux de Subirà estudió esta temática con ahínco y brillantez… A este respecto recomendamos sinceramente consultar sus publicaciones así como los siguientes sitios web gerenciados desde España:
http://www.bardina.org/
http://www.ineval.org/
http://www.finaly.org/
De todas formas, es notorio que el lector allí no encontrará todas las respuestas, puesto que el propio Agustí Chalaux no elaboró todas las respuestas, no tuvo tiempo para profundizar en todas y cada una de las importantes temáticas involucradas… Obviamente la economía es un asunto muy complejo, y por tanto hay que tener gran cuidado al elaborar una profunda y radical reforma estructural…
Lo que sí es más fácil de afirmar, es que la situación actual debe cambiar, puesto que las inequidades y las absurdas ineficiencias ya han ganado demasiado terreno, y puesto que las ventajas aportadas por las nuevas tecnologías y por los nuevos procedimientos productivos ya no pueden equilibrar esos desvíos… La situación es ya demasiado caótica y desordenada, y absurda por donde se la mire…
El proyecto social de Agustí Chalaux de Subirà marca un muy interesante punto de partida o de arranque… Debemos trabajar estas ideas con seriedad y responsabilidad, y en esta acción el Centro de Estudios Joan Bardina puede jugar un rol significativo… Los sectores actualmente sumergidos y debilitados nos están reclamando un esfuerzo, nos están reclamando un cambio… Las propias heridas ecológicas del planeta nos están reclamando ganar al menos la batalla de las propuestas innovadoras y bien estructuradas, logrando además una amplia difusión de estas ideas, y un amplio debate en relación a las estrategias allí recomendadas…
Miremos con confianza hacia el futuro… Tengamos confianza en nuestro porvenir social…
Pero no esperemos que todo se nos dé en la mano… También es responsabilidad de cada uno de nosotros aportar lo suyo, para que todos juntos podamos construir un mundo mejor, más socialmente justo y equilibrado, más productivamente eficiente y racional, más intelectualmente innovador y creativo…
No cometamos el error de pensar que las soluciones deben venir principalmente de los Gobiernos y de los Organismos Internacionales… Las cúpulas de poder en parte actúan por reflejo, en parte actúan en base a los deseos y reclamos mayoritarios de la gente, y en parte actúan en defensa de sus propios intereses de corto plazo…
Tampoco cometamos el error de pensar que toda la culpa recae en una reducida plutocracia, en un reducido grupúsculo de poder… Si, es muy cierto, mucho se han enriquecido ciertos sectores de poder, ciertos inescrupulosos señores que ya eran ricos antes de estallar la crisis, y que supieron aprovechar los efectos de la nueva situación para enriquecerse aún más… Pero también reconozcamos que hicieron su agosto un gran contingente de sectores medios, los que inteligente y hábilmente supieron aprovechar oportunidades; ciertos sectores medios y medios-altos, ocasional e injustamente enriquecidos, también lograron mejorar significativamente, y la riqueza adicional por ellos obtenida sumada toda ella, también hace una bonita suma, también equivale a varios centenares de miles de millones de dólares…
Y desde el punto de vista filosófico y conceptual… ¿Qué hacer? ¿Cómo manejarse hacia el futuro ante la realidad actual? ¿Qué responsabilidades asignar a cada quién?…
Por cierto es imposible pasar facturas en forma generalizada… Obviamente, si algunos especuladores se arriesgaron demasiado y cometieron ilícitos, bueno, que la justicia los juzgue y si hay mérito los condene… Pero al resto creo que lo mejor es dejarlos tranquilos, pues no hay bases razonables para asignar responsabilidades y para condenarles… Más bien miremos hacia el futuro, y poco a poco introduzcamos moneda responsable y preparemos a los agentes económicos para la sociedad telemática del futuro… El tránsito de la actual estructura social y productiva a la futura sociedad verdaderamente telematizada llevará años, llevará varias décadas, pero cuanto antes comencemos será mejor…
Soñando, dejando volar la imaginación
Un mundo mejor es posible, pero con otro modelo de sociedad
Agustí Chalaux i de Subirà fue un muy inteligente, tenaz, y perseverante investigador social catalán, que sin duda nos legó un muy interesante y valioso proyecto social, muy completo, holístico, con muy buenas ideas de base, con muy buenos enfoques sectoriales, y que da soluciones viables y concretas y prácticas a los grandes males de este siglo XXI, de este tercer milenio que recién comienza. Y en este sentido merece destacarse: (1) Definición de un nuevo modelo de sociedad, definición de una remozada visión socioeconómica, de una nueva arquitectura financiera, tanto en el ámbito internacional como en el ámbito de las distintas economías nacionales y de los distintos espacios regionales o provinciales; (2) Importante cambio de enfoque en relación al control del narcotráfico y en relación al control de actividades ilegales de diverso tipo y alcance, incluyendo los tradicionales robos de oportunidad y los copamientos a mano armada; (3) Tratamiento nuevo y novedoso respecto de la marginación social y de la pobreza extrema; (4) También positivos efectos directos e indirectos respecto de la especulación en toda su amplia gama de posibilidades, especulación agiotista o de acaparamiento, especulación usurera y/o bancaria, especulación financiera en bolsa de valores, especulación inmobiliaria, especulación de gran alcance y con gestación de lo que en la jerga técnica se conoce como burbujas de crecimiento descontrolado o burbujas económico-financieras o burbujas de expectativas; (5) Incluso también interesante intervención en la problemática de la violencia social en los distintos ámbitos, familiar, callejera, racial, sociocultural, de género, etcétera; (6) También propuestas muy interesantes e innovadoras en temáticas educativas y pedagógicas, así como en relación a la afirmación de valores humanos y a la propia afirmación de la espiritualidad; (7) Defensa bien argumentada de la necesidad de dar un enfoque más racional y científico a las cuestiones sociales, y comenzando por el desarrollo de una adecuada terminología multidisciplinaria.
No obstante las ventajas destacadas que sin duda deberían atraer de inmediato la atención de las personas bien intencionadas, la propuesta de este pensador social catalán no ha tenido hasta ahora una repercusión acorde a las expectativas expresadas. Me explico, sin duda hay ya un buen número de analistas sociales y de pensadores y de educadores y en general de ciudadanos, convencidos de los aportes positivos que podrían ser generados por aplicación de las propuestas de Agustí Chalaux de Subirà en distintos espacios y a distintas escalas. También hay varias instituciones educativas que en una u otra forma han integrado las ideas de Agustí a su hacer cotidiano y a su currícula de estudios. Con toda evidencia también ya existe tanto material escrito como material audiovisual de muy buena calidad en relación a la cuestión que aquí nos ocupa, el cual incluso está disponible en Internet, y el cual ha sido traducido a diferentes idiomas. No obstante estos aspectos sin duda positivos y que favorecen la difusión, las propuestas de Agustí aún no han alcanzado una circulación fluida en los grandes medios de comunicación social, y tampoco se tratan sus ideas en los ámbitos decisorios de mayor nivel, ni siquiera en España, país natal de este pensador.
¿Por qué se da esta situación? ¿Por qué no se analizan con seriedad estas ideas por parte de competentes grupos pluridisciplinarios? Entre otras cosas, el pensamiento de Agustí proporciona interesantes enfoques en relación a la atenuación o incluso posible erradicación de las burbujas especulativas y de las recurrentes crisis recesivas mundiales, de las recurrentes crisis socioeconómicas globales o regionales. Entonces: ¿Porqué en ciertos ámbitos técnico-políticos no se debate el proyecto social de este inteligente y emprendedor catalán, cuando por otro lado tanto preocupan estos temas económicos que hoy día afligen al mundo, y para los que no se avizoran soluciones sencillas y rápidas por ninguna parte?
Agustí Chalaux de Subirà era un buen orador y sin duda además tenía un atrayente carisma personal. Si en vida dicho pensador no logró traspasar esa barrera invisible que permite transformar una propuesta en un conocido paradigma de referencia para la acción, sin duda será porque hay unos cuantos elementos que en este caso están actuando en contra de una más acentuada difusión y consideración.
Quienes respetamos y admiramos a Agustí Chalaux de Subirà, obviamente deberemos aprovechar todas las ocasiones y los medios que se encuentren a nuestro alcance, a efectos de crear los ámbitos para que sus propuestas sean conocidas y discutidas, pues de otra forma por largo tiempo todo va a continuar más o menos en la misma situación que hoy día, pues las propuestas alternativas que circulan por ahí, inclusive en el G-8 o en el G-20 o en el G-20 ampliado, son meros paños fríos, son meros paliativos tal vez con ciertos efectos positivos sectoriales y/o de corto plazo, pero con un enfoque exageradamente particular y restringido. Los entusiastas de las ideas de Agustí deberemos tratar de estar en el momento más adecuado con la sugerencia más adecuada, y/o con la exposición de motivos más ajustada a la situación, y/o con el material más adecuado y atrayente, pues caso contrario y con el desinterés generalizado que parece haber en muchos ámbitos, será difícil que podamos revertir el status quo actual. El propio Agustí desplegó en vida una actividad de promoción intensa y febril, esperando que un cambio se produjera en cualquier momento, esperando un reconocimiento más generalizado en el que sin duda tenía fe, pero esas condiciones más favorables se hicieron esperar. ¿Dónde está realmente el problema? ¿Por qué en este caso una mayor repercusión se revela como esquiva, a pesar de las relevantes acciones ya cumplidas?
Tratando de profundizar en estas interrogantes, en los párrafos que siguen haré referencia a varias reflexiones y observaciones formuladas por Jordi Griera i Roig, sin duda otro entusiasta admirador de Agustí. Este amigo maneja diversas posibilidades sobre el asunto planteado.
Por un lado señala que el problema tal vez radica en una oligarquía bien preparada y bien atenta, con gran determinación y empeño en perpetuar las ventajas de las que goza con el sistema actual, de las que goza con la organización jurídica-económica-social actual. Dicha oligarquía, dicha cima de poder y de riqueza y de mando, por cierto no es omnipotente, no es imposible de doblegar, pero sin duda tiene gran incidencia en los gobiernos y en los parlamentos, así como también en los medios masivos de comunicación social, y posiblemente también en el propio sistema educativo. Frente a esta situación poca cosa pueden hacer voces aisladas o emprendimientos modestos, al menos mientras no se den situaciones extremas en forma generalizada, al menos mientras muchas conciencias se encuentren adormecidas por un buen establecido adoctrinamiento, por un buen establecido sistema paradigmático referencial favorable al mantenimiento de nuestra actual ordenamiento socio-financiero.
Y Jordi Griera se pregunta si la actual crisis financiera global podría cambiar en algo esta situación. Y su respuesta es que en principio poca cosa va a cambiar, y que al contrario la oligarquía dominante va a salir fortalecida y no debilitada de las turbulencias productivo-económicas que se están dando, por la sencilla razón que las presiones que sin duda se están ejerciendo sobre los sectores de poder y de mando, van a hacer caer a los elementos más débiles e incompetentes, pero van a fortalecer a los sectores más duros e inteligentes, que supieron anticipar y predecir los cambios, y que supieron actuar en consecuencia. Así, a la salida de la actual crisis mundial que sin duda en algún momento se concretará, la plutocracia estará renovada, remozada, y tal vez incluso con una aureola de triunfo y de reconocimiento, pues no pocos la señalarán como los elementos salvadores, como los elementos que supieron revertir la crisis financiera y retomar la senda del progreso y del crecimiento. Así, cuando concluya la actual crisis económica mundial, la riqueza y el poder quedarán concentradas en menos manos, y quedarán concentradas en gente más inteligente, astuta, y competente.
Y continuando con sus elucubraciones, Jordi Griera se pregunta qué representan en este contexto los entusiastas del proyecto social de Agustí, y qué representan en general las voces discordes del actual estado de cosas, de la actual situación socioeconómica en crisis y con evidentes dificultades. Y este amigo se responde a sí mismo: Pues los disconformes somos una insignificancia, una especie de caspa en la cabeza pensante del pueblo, una especie de conciencia que sirve para dejar claro que hay libertad de pensamiento, pero que muy pocos se molestan en analizar lo que estos sectores están expresando y recomendando.
¿Qué debemos hacer para que nos oigan? ¿Qué debemos hacer para que las ideas de Agustí sean debatidas, evaluadas, y criticadas?
Bueno, al respecto Jordi Griera señala que ante todo debemos calmadamente valorar la situación, por cierto analizando las falencias que puedan descubrirse en la presente organización socio-productiva, pero también tratando de encontrar nuestros propios defectos de actuación para luego corregirlos. Y como defectos principales y que más inciden negativamente en el accionar de los entusiasta de Agustí y en quienes tienen la inquietud de proponer nuevos proyectos sociales y nuevos modelos de interacción e intercambio, inteligentemente este amigo señala los siguientes ítems: (1) Atomización; (2) Personalismos; (3) Inconcreción; (4) Falta de determinación, falta de coraje, falta de constancia, falta de medios, falta de experiencia; (5) Falta de capacidad para llegar al corazón de la gente, falta de capacidad de convencimiento y de sensibilización.
Con mis propias palabras trataré de explayarme y argumentar en relación a estos cinco ítems.
En relación al primer asunto, en relación a la atomización, en relación a las nuevas propuestas sociales que se visten y que se presentan al mundo, bien podría decirse que cada semana se formaliza en el planeta un grupúsculo nuevo, una nueva fundación o una nueva organización social no gubernamental o una asociación de hecho, con objetivos ambiciosos y por cierto con declaraciones grandilocuentes, objetivos y declaraciones que suelen no estar del todo mal, objetivos y declaraciones que generalmente son compartibles. Y por cierto la descoordinación entre estos grupos es muy notoria. Pareciera como que nadie desea integrarse y apoyar una iniciativa de otro, y así surgen centenares de miles de proyectos y de actividades. Basta que alguien tenga una idea prometedora y tal vez original, para que ello dé mérito a concretar una propuesta, y a fundar un movimiento o una agrupación o una asociación, precisamente a efectos de promocionar e impulsar este nuevo enfoque. Consecuencia: Nula sinergia, y también nula o escasa complementación. Cada cual atiende su nido sin preocuparse mayormente de cómo se está preparando el nido del vecino.
¿Y cómo se sale de esta situación? ¿Intentando formalizar una mega propuesta que sea abarcativa, o apoyando una de las propuestas ya concretadas? Obviamente, si se decidiera por esta última opción, todo el mundo diría: Apoyen la nuestra, apoyen la nuestra.
Por cierto, ni Jordi Griera ni yo mismo somos excepciones a la regla, así que obviamente proponemos se apoye el proyecto social y educativo de Agustí Chalaux de Subirà.
De todas formas, posiblemente hay varios argumentos a favor de la solución indicada. Por un lado las propuestas de Agustí ya han cumplido una interesante etapa de maduración, pues en líneas generales datan al menos del año 1984, momento de la fundación del Centro de Estudios Joan Bardina en Barcelona. Además, hay enfoques en este proyecto catalán que tal vez hoy día, con el estado actual de desarrollo tecnológico, no parezcan en forma alguna tan originales o revolucionarios. Por cierto, otra cosa muy distinta se daba en los años setenta y ochenta, momento en el cual los lineamientos fundamentales del proyecto social de Agustí fueron delineados; y éste es un elemento que merece ser reconocido. Por otra parte, esta propuesta social catalana es completa, es holística, pues intenta dar solución integral y exhaustiva a la gran mayoría de los problemas sociales y de las irracionalidades operativas hoy día presentes en nuestra realidad.
¿A qué apuntan estas argumentaciones y estos razonamientos que recién vienen de ser expresados? Muy simple. Tal vez el reconocimiento actualmente acordado al Proyecto Bardina podría ser mucho mayor, si fuera mucho mayor el número de adeptos. Si las adhesiones recibidas superaran un par de millones, posiblemente algún sector de poder se interesaría en este asunto, aunque más no fuere por razones meramente demagógicas o electorales.
Al igual que Jordi Griera, me declaro un bardiniano convencido, un bardiniano con todas las de la ley, pues he reflexionado mucho sobre esta propuesta catalana, y le he encontrado pocos aspectos flojos, asuntillos que por lo demás tienen solución.
Pero pasemos ahora al segundo punto: Personalismos. Por cierto la atomización y el personalismo están muy emparentados, pues el motivo de fondo de la atomización es el egocentrismo, una enfermedad muy generalizada y cuyos enfermos pocas veces se dan cuenta que la padecen. Y esta enfermedad se arraiga en las personas, hasta hincharlas e inflarlas como pelota. Una buena estrategia para intentar no padecer de esta dolencia, bien podría ser escudarse en un personaje con méritos notorios y con consolidados antecedentes, y en el caso que nos ocupa dicho personaje bien podría ser Agustí Chalaux. Por cierto no es necesario endiosar exageradamente los logros obtenidos por esta figura, pues no es imprescindible que lo que él haya dicho o escrito lo contemple todo y lo prevea todo. Los proyectos son todos perfectibles, y en especial cuando se los comienza a aplicar sin duda siempre se descubren detalles que tienen su importancia y que ameritan ajustes. De todas formas, Agustí Chalaux indudablemente expresó muchas ideas muy atinadas y muy prácticas, y lo hizo con brillantez y competencia.
Consideremos ahora el tercer punto o ítem: Inconcreción. Con toda evidencia, y por falta de recursos materiales y/o humanos, miles de propuestas se quedan en los prolegómenos, en las etapas iniciales. Y como una de las principales falencias se anota la escasa difusión que tienen ideas y proyectos con un buen potencial transformador.
Es cierto, Internet es una herramienta muy idónea y provechosa, que cada vez más nos acerca ideas expresadas en puntos distantes en el tiempo y en el espacio. Sin embargo, es imposible interiorizarse de miles de propuestas, y tal es la polución informativa de la red de redes, que esto apabulla y desconcierta hasta el gallo mejor plantado. Ante esta riqueza tan grande de documentación, los usuarios de la red de redes terminan por no leer nada, o por leer propuestas que no son las mejores. Además, obviamente no se trata que los actores sociales solamente lean y registren, pues también se les debe dejar espacios para meditar, para actuar, para argumentar con elementos propios, para implementar, para convencer a sus relaciones.
Obviamente, desde las grandes tribunas periodísticas se llega de otra forma al ciudadano común y a los jerarcas de nivel medio, y se logra formar opinión de otra forma, pero acceder a este mundo para así obtener una amplia difusión no es siempre sencillo.
Analicemos ahora el cuarto ítem: Falta de determinación, falta de coraje, falta de constancia, falta de medios, falta de experiencia. Indudablemente quienes queremos un cambio radical en la organización social, es porque nos hemos convencido que hoy día se presentan irracionalidades, contrasentidos, injusticias, inequidades, ineficiencias, etcétera, y por todo ello es que pensamos que con urgencia se precisa un cambio, un gran giro de timón. Por momentos muchos de nosotros tenemos rabia, clamor, y ruego, a flor de nuestros labios y de nuestro aliento. Por momento muchos de nosotros nos sentimos tentados a gritar: “Basta ya, las cosas han llegado al límite de lo irracional, y ya no se soportan más”. Ahora bien, quienes esto pensamos sin duda estamos en diferentes situaciones económicas, pero en mayor o menor grado todos debemos tener una ocupación que nos genere ingresos para así poder subsistir, y para así apoyar a nuestras respectivas familias. Lo que quiero decir con esto, es que en buena medida nuestras elucubraciones sociales y filosóficas, por brillantes y completas y sinceras que ellas sean o que ellas parezcan, son para nosotros una actividad secundaria a la que le dedicamos el tiempo que podemos. ¿Y quienes están del otro lado? ¿Y quienes son nuestras contrapartes? Bueno, indudablemente ellas son las oligarquías, los sectores de poder, e incluso una gran cantidad de actores que han descubierto falencias en nuestro actual ordenamiento social, y que basan sus actuales medios de subsistencia precisamente en aprovechar esas falencias; y en esta gran bolsa que por cierto también es significativa en su conjunto, se encuentran los defraudadores de impuestos (pues quienes defraudan al fisco no sólo son los grandes emprendimientos, sino también el pequeño comerciante y el pequeño empresario industrial y el contrabandista, e incluso el informal que ofrece mercadería en la calle, e incluso el ilegal que acepta trabajar en negro, etcétera), y también se encuentran aquellos que hoy día desempeñan funciones que en el futuro ordenamiento desaparecerán o se reducirán (entre ellos los administradores, los empleados bancarios, los vigilantes privados, quienes transportan caudales, en general quienes pagan y quienes cobran, los abogados quienes deberán atender menor número de demandas civiles, etcétera), y también quienes hoy día desempeñan actividades ilegales (ladrones de guante blanco y también ladronzuelos y punguistas, rapiñeros, reducidores, estafadores, narcotraficantes de gran escala o de bocas de venta, pillos de todo calibre y color, contrabandistas, etcétera), y también por cierto los especuladores, y también por cierto quienes hoy día deben y se las arreglan para no pagar, o quienes hoy día cobran por rubros que no les corresponden. Observe bien y evalúe bien el lector estas dos partes. Por un lado personas altruistas y/o soñadoras, que por sentimiento y por humanismo y por querer hacer el bien por el bien mismo, desean construir un mundo mejor, más solidario y cordial, más justo, más equitativo, más funcional, más racional, más eficiente, menos rabiosamente consumista, pero que por lo general deben tener una ocupación principal de la cual poder vivir en el día a día, de la cual poder subsistir. Y por otro lado otro conjunto de personas, algunas muy poderosas y con muchos medios a su disposición, pero todas con el común denominador que el nuevo ordenamiento social propuesto les perjudicaría, en el sentido que les haría perder buena parte de sus actuales ingresos, en el sentido que les obligaría a cambiar sus respectivas estrategias de supervivencia hacia otras actividades en la que no saben bien cómo les irá y en las que no saben bien cómo actuar. Para este segundo grupo mantener el status quo actual es de suma y capital importancia, pues en ello se juegan sus ingresos actuales y su actual modo de vida, y por tanto seguramente estarán dispuestos a hacer de todo para que las cosas no cambien, o para que ellas cambien lo menos posible. Recordemos en este punto ese divertido y conocido juego de palabras, ese emblemático dicho popular: Cambiemos todo lo que sea necesario, para que las cosas continúen más o menos por los mismos carriles de siempre (“Cambiemos todo lo necesario para que todo siga como está”, “Everything to change so that everything carries on as always”, “Che cambi tutto perché non cambi niente”).
En resumen, sin duda poca gente querrá comprometerse con proyectos atomizados, exageradamente personalizados, inconcretos, que disponen de pocos recursos, y para colmo mal conocidos porque lo usual es que se los conozca por referencias de terceros, o por haberlos leído y analizado sólo en forma superficial.
Pero aún queda un quinto ítem por tratar: Falta de capacidad para llegar al corazón de la gente, falta de capacidad de convencimiento y de sensibilización.
Indudablemente las teorías económicas o sociológicas y también las cuestiones exageradamente técnicas, difícilmente llegan al corazón de la gente, y difícilmente logran convencer a cabalidad. Para convencer es muy conveniente motivar emocionalmente, y eso se logra con cierta facilidad con un buen discurso y con propuestas demagógicas, con propuestas muy politizadas e ideologizadas, con declaraciones grandilocuentes y prometedoras, con visiones idílicas que se dice estarán al alcance de la mano, con movilizaciones sociales espectaculares y masivas, con reiteradas e insistentes alocuciones en los medios masivos de comunicación social, con acciones públicas originales y pintorescas, y también por cierto con el boca a boca popular, o sea haciendo uso de una conveniente sinergia social, haciendo uso de un conveniente y cotidiano contagio social. En resumen, la teoría y la elucubración filosófica de alto vuelo por cierto no deben ser desechadas, pero también hay que construir una versión muy orientada a la divulgación general, que sea convincente, que sea atrayente, que sea emotiva, que logre entusiasmo, que movilice y motive, que invite al festejo, que por anticipado produzca alegría y esperanza. Obviamente sin teoría y sin planificación se hace inviable cualquier revolución o cualquier importante cambio estructural, pero para viabilizar social y políticamente un emprendimiento de este tipo también se necesita calor humano, también se necesita apelar al sentimiento y a la espiritualidad de la gente, también se necesita transmitir confianza y optimismo.
Y ya para terminar esta nota, transcribo a continuación algunos versos inmortalizados por la pluma de José Hernández, y plasmados en las hojas del libro “Martín Fierro”.
Hasta que el pueblo las canta, las coplas coplas no son, y cuando las canta el pueblo, ya nadie sabe el autor.
Procura tú que tus coplas vayan al pueblo a parar, que al volcar el corazón en el alma popular, lo que se pierde de gloria se gana de eternidad.
Lo que pinta este pincel ni el tiempo ha de borrar, y nadie se ha de animar a corregirle la plana, no pinta quien tiene ganas sino quien sabe pintar.
Hasta aquí los comentarios que por el momento deseaba plantear. Quedo a la espera de las sugerencias o de los aportes, que los eventuales lectores tengan la amabilidad de plantear.
domingo, 25 de enero de 2009
El orden social sin duda puede mejorarse con la psicología social
En 1969, en la Universidad de Stanford (EEUU), el Profesor Phillip Zimbardo realizó un muy interesante experimento en psicología social, en psicología del comportamiento. Dejó dos autos abandonados en la calle, dos autos idénticos, misma marca, e incluso mismo modelo y color. Uno lo dejó en el Bronx, por entonces una zona pobre y conflictiva de la ciudad de Nueva York, y el otro lo ubicó en Palo Alto, una zona rica y muy tranquila de California. Véase la situación planteada: Dos autos idénticos abandonados, dos barrios con poblaciones muy diferentes, y un equipo de especialistas en psicología social estudiando las conductas de la gente en cada sitio.
Resultó entonces que el auto abandonado en el Bronx comenzó a ser depredado en pocas horas. Perdió las llantas, el motor, los espejos, el radio, los instrumentos, etcétera, etcétera. Todo lo aprovechable se lo llevaron de ese auto, y lo que no era aprovechable lo destruyeron, por simple gusto, por vandalismo, por mero deseo destructor, por llano salvajismo. Por el contrario, el auto abandonado en Palo Alto se mantuvo intacto en ese mismo período de tiempo; nadie se interesó en él, nadie intentó robarle algo, nadie ni siquiera le pegó una patada a una de sus partes.
Es común atribuir a la pobreza las causas de los delitos… a la pobreza, y también a una educación chapucera y descuidada, a la influencia perniciosa de las malas compañías y de los malos ejemplos, etcétera… Atribuciones por cierto en la que generalmente coinciden los especialistas, y también las posiciones ideológicas más conservadoras y ortodoxas (de derecha y también de izquierda o de centro). Sin embargo, el experimento en cuestión no finalizó ahí, no finalizó en lo hasta aquí relatado, pues cuando el auto abandonado en el Bronx estaba ya deshecho y el de Palo Alto llevaba ya una semana impecable e intacto, los investigadores rompieron un vidrio en el automóvil situado en California.
El resultado observado acto seguido fue algo inesperado y desconcertante, ya que en Palo Alto se desató entonces un proceso predatorio similar al antes constatado en el Bronx de Nueva York, y el robo, y la violencia, y el vandalismo, pronto redujeron el vehículo a un estado similar que al del auto abandonado en el barrio pobre.
¿Por qué un simple vidrio roto en el auto dejado en un vecindario supuestamente seguro y con vecinos respetables y pudientes, es capaz de disparar todo un proceso delictivo? ¿Por qué un vidrio roto pudo ser un factor diferencial y desequilibrante? ¿Cuáles pueden ser las interpretaciones que razonablemente fundamenten el comportamiento humano en el contexto de los hechos antes expuestos?
Evidentemente y en lo profundo, las conductas humanas no se condicionan únicamente por la situación de pobreza y de carencia que eventualmente se pueda padecer. La causa recóndita y subterránea del comportamiento social hay que buscarlo por otro lado, hay que complementarlo por otro lado. Y evidentemente tiene que ser algo ligado con la psicología humana, y con las relaciones sociales, y con la situación de entorno. Muy posiblemente un vidrio roto en un auto que en apariencia era poco usado, transmite una idea de deterioro, de abandono, de desinterés, de despreocupación, de falta de supervisión, lo que va rompiendo códigos de convivencia y transmitiendo mensaje de ausencia de ley, de ausencia de normas, de ausencia de reglas, en resumen, transmitiendo la idea del vale todo. Cada nuevo pequeño ataque que sufría el auto en Palo Alto, reafirmaba y multiplicaba la idea recién indicada, hasta que en un determinado momento, la escalada de actos cada vez peores se volvió incontenible, desembocando en una violencia irracional, en una depredación apresurada y sin límites, en una desesperación por llegar a la fiesta antes de que ella acabara.
En experimentos posteriores, los especialistas James Q. Wilson y George Kelling desarrollaron la “teoría de las ventanas rotas”, la que desde un punto de vista criminológico permite concluir que el delito es mucho mayor en las zonas donde el descuido, la suciedad, el desorden, el maltrato, la impunidad, la no supervisión, y el no apego a reglas, son ellos también mayores y evidentes. Con la aparente falta de interés en resolver un problema, y/o con la notoria falta de medios de control, y/o con la aparente falta de sanción a los trasgresores, se crean las condiciones ideales para pensar en el vale todo, y los seres humanos abandonamos entonces nuestra urbanidad para al menos por un rato adherirnos al salvajismo.
Si se rompe un vidrio de una ventana en un edificio y nadie lo repara, pronto estarán rotos todos los demás vidrios. Si una comunidad exhibe signos de deterioro y esto parece no importarle a nadie y/o resulta evidente que no hay medios para revertir esta situación, entonces allí se generará el delito y la trasgresión y la arbitrariedad. Si se cometen pequeñas faltas, como por ejemplo estacionarse en lugar prohibido, exceder el límite de velocidad al conducir un automóvil, o pasarse una luz roja, y si esas faltas no son mayoritariamente sancionadas, entonces comenzarán faltas mayores, y luego delitos cada vez más graves, pues se pierden las referencias, pues no se saben ubicar los límites, pues hay entonces inseguridad para saber qué es lo bueno y qué es lo malo, para saber qué está socialmente permitido y qué está socialmente prohibido, para saber hasta dónde se puede llegar sin recibir sanción o condena o reprimenda.
Si los parques y otros espacios públicos deteriorados son progresivamente abandonados por la mayoría de la gente (que deja de allí concurrir por temor a las patotas, o por temor a presiones, a injurias, a situaciones incómodas y enojosas), y si de una u otra forma esos lugares son también abandonados por las propias instituciones estatales que aparentan ser omisas o que aparentan no tener medios, indudablemente el descuido y la suciedad y la arbitrariedad allí van ganando terreno, y finalmente todo es allí ocupado por los delincuentes y los mal vivientes y los marginados.
En un sentido positivo, la “teoría de las ventanas rotas” fue aplicada por primera vez a mediados de la década de los años ochenta en el tren metropolitano de la ciudad de Nueva York, el cual de hecho se había convertido en el punto más peligroso de la ciudad. Allí se comenzó por combatir las pequeñas transgresiones: (a) graffitis que deterioraban y ensuciaban el lugar, (b) descuido general de las estaciones (falta de pintura, cosas rotas o que no funcionaban), (c) poca puntualidad o irregularidades en los servicios, (d) ebriedad permitida entre los usuarios, (e) evasiones del pago del pasaje, (f) pequeños robos y desórdenes, etcétera, etcétera, etcétera. Al así actuar, los resultados poco a poco entonces se hicieron evidentes. Comenzando por lo pequeño, finalmente se logró hacer del citado medio de transporte un lugar seguro, cómodo, y limpio.
Posteriormente y ya en 1994, Rudolph Giuliani, el entonces alcalde de la ciudad de Nueva York, basado en la ya mencionada “teoría de las ventanas rotas” y en la experiencia exitosa en el tren metropolitano, impulsó una política de “tolerancia cero”. La estrategia consistía en crear comunidades limpias y ordenadas, no permitiendo transgresiones a la ley y a las normas de convivencia urbana.
¿Y el resultado práctico? Enorme abatimiento de todos los índices criminales de la ciudad de Nueva York. Cierto, la expresión “tolerancia cero” suena a una especie de solución autoritaria y represiva, pero su concepto principal es más bien la prevención de las ilegalidades, así como la promoción de convenientes condiciones sociales generales.
No se trata de linchar a los delincuentes, ni de promover la prepotencia policial, ni de provocar una reacción policial exagerada frente a los delitos. Y de hecho, respeto de los abusos de autoridad y en concordancia con la idea que aquí se plantea, por cierto también puede y debe aplicarse en el ámbito policial el concepto de “tolerancia cero”. De lo que se trata por tanto, es de tener nula tolerancia frente al delito y a la trasgresión en sí mismos, y no tanto plantear agresividad extrema e intolerancia extrema frente al delincuente y frente al trasgresor y frente al policía que se excede en sus atribuciones.
La idea central es la de crear comunidades limpias, ordenadas, sin excesos ni violencias, respetuosas de la ley y de los códigos básicos de convivencia, lo que por cierto hoy día lamentablemente es algo difícil de encontrar, especialmente en las grandes ciudades.
Ahora bien: ¿La “teoría de las ventanas rotas” puede ser aplicada también a la propuesta de la sociedad telemática promovida e impulsada por el Centro de Estudios Joan Bardina, y promovida también desde este mismo espacio documentario, y promovida también desde los espacios web de la serie Digimundo?
Por cierto que sí. Hay que derrumbar la idea que el crimen paga. Hay que derrumbar la idea de que se puede transgredir sin ser sancionado, y sin siquiera recibir un castigo moral o reprobación moral por parte del entorno social. Hay que derrumbar la visión de que el vecino es infractor sin que nada le pase. Hay que erradicar la idea de que se puede llegar a generar un perjuicio a algo o a alguien, al vecino, al Estado, a la naturaleza, al cliente desprevenido, sin por ello recibir sanción, sin por ello al menos tener que pagar una multa. Hay que de hecho erradicar la posibilidad (y por desgracia amarga realidad) que existan abogados corruptos que en lugar de defender a su cliente se dejan corromper por el abogado de la contraparte. ¿Pero cómo llegar a hacer esto en forma generalizada, y de una forma que sea factible de implementar?
Véase que casi todo directa o indirectamente está vinculado con el dinero, y por lo tanto, se intuye con facilidad que no hay mejor solución para encausar las graves problemáticas sociales a las que hoy día nos enfrentamos, que promover el uso generalizado del dinero telemático, que promover el uso generalizado de la moneda responsable y telemática, pues ello tarde o temprano va a transmitir la idea que un delito o que un simple engaño, a la corta o a la larga podrá ser descubierto, simplemente desenrollando el ovillo, simplemente navegando hacia delante y hacia atrás en las cadenas de pago.
El dinero responsable y telemático puede ayudar muy mucho a hacer más ordenado y más transparente nuestro universo de intercambios, nuestro universo de transacciones, y aún nuestras relaciones con el entorno natural y con el entorno social, y en consecuencia, y en virtud de ese logrado mejor ordenamiento, es dable esperar un comportamiento humano más racional, más limpio, más moral, más ajustado a las normas y a la ética, e incluso hasta más solidario.
Y ya para terminar esta nota, analicemos por un momento la cuestión planteada en torno a la sociedad telemática con un poco más de detalle. Indudablemente el dinero telemático requerirá bastante tiempo en ser implementado en forma generalizada. ¿Será que para obtener claros beneficios tendremos que esperar a tener una sociedad telemática completa y madura, o también podrán cosecharse ventajas en las instancias iniciales y preparatorias?
Desde mi personal punto de vista, implementando inteligentemente acciones preparatorias para una futura sociedad telemática, y para un futuro uso generalizado de la moneda telemática responsable, también pueden surgir ventajas y beneficios para nada despreciables.
La introducción de dinero telemático nominativo e informativo en un determinado y amplio sector, por ejemplo el pago de salarios, indudablemente introducirá orden y racionalidad en ese sector específico, y eso ya es algo, y eso ya es importante en sí mismo. Si luego parte de esos recursos dinerarios pueden ser convertidos en el tradicional dinero anónimo y no informativo, bueno, se pierden allí posibilidades, pero un primer paso ya está dado, pero la meta de la sociedad telemática integral ya está un poco más cercana.
Reflexionemos en todo esto… No perdamos el tren una vez más… Reflexionemos en los asuntos planteados en cuanto cuerpo social, o desde la perspectiva de un común, desde la perspectiva de lo que generalmente se denomina ciudadano de a pie, o ciudadano común y corriente… Como cuerpo elector pidamos a los políticos que con sus asesores y sus técnicos analicen en profundidad las propuestas de Agustí Chalaux de Subirà… Y para reforzar y mejor impulsar esta sugerencia, y para reforzar y mejor impulsar el tipo de reflexiones aquí planteado, construyamos un “movimiento de los comunes”, al menos para entre nosotros intercambiar ideas al respecto, y para con nuestro propio accionar así también intentar interesar a los medios masivos de comunicación social…
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